La consultation de kinésiologie…et après?
Que se passe-t-il après une consultation de kinésiologie?
Parce que l’atteinte d’un objectif va bien au-delà d’une consultation, j’aimerais vous faire part de quelques conseils pour avancer au mieux après notre consultation.
Veiller à bien s’hydrater
Une consultation de kinésiologie permet de libérer des blocages physiques, émotionnels et énergétiques. On veut donc ensuite que l’énergie circule, que le corps puisse se débarrasser de ses toxines, qu’il soit suffisamment hydraté pour fonctionner correctement : on s’assure de boire suffisamment d’eau.
Accueillir une potentielle crise de guérison
Une « crise de guérison » (ou un « effet rebond ») correspond à la manifestation temporaire de symptômes ou à leur accentuation pendant le processus de nettoyage du corps. Elle précède le retour à l’équilibre.
Une détoxification du foie peut par exemple provoquer des boutons. Il en va de même lors d’un soin en kinésiologie puisque nous libérons des blocages, qu’ils soient physiques, émotionnels ou énergétiques.
Parmi les symptômes les plus courants que j’ai pu observer à la suite de mes consultations de kinésiologie, nous retrouvons:
- Une fatigue plus ou moins importante
- Le réveil de certaines douleurs
- La libération d’émotions (tristesse, colère)
- Troubles digestifs
- Troubles du sommeil
Une crise de guérison n’est ni systématique, ni nécessaire et surtout, elle doit être très limitée dans le temps. Je demande toujours à être tenue informée en cas de symptômes faisant suite à l’une de mes consultations.
Passer à l’action
C’est essentiel pour parvenir à l’atteinte d’un objectif. La séance aura permis de libérer du stress, des tensions musculaires, des blocages énergétiques, etc. Elle aura probablement permis d’apporter de la compréhension sur un sujet et vous aura aidé à retrouver votre plein potentiel. Le reste vous appartient entièrement et c’est la raison pour laquelle je vous incite vivement à passer à l’action. Quel est le plus petit pas possible que vous puissiez faire dans la direction de votre objectif?
Être régulier dans les exercices de soutien
Il m’arrive de proposer des exercices à faire chez soi, en soutien de ce qui aura été fait lors la consultation. Cela peut aussi bien concerner la libération de croyances limitantes, le deuil d’une situation que des mouvements visant à stimuler des zones cérébrales pour favoriser l’apprentissage, etc.
S’ils font du sens pour vous, je vous encourage à les mettre en pratique car ils peuvent vraiment faire la différence et vous permettre d’atteindre votre objectif plus vite.
Accepter d’avancer à son propre rythme
J’aime prendre l’image de l’oignon pour décrire en quoi consiste selon moi un accompagnement thérapeutique.
L’origine d’une problématique, la blessure originelle constituerait le coeur de l’oignon. Elle serait ensuite entourée de couches qui correspondraient à l’ensemble des protections, des répliques et des évitements mis en place jusqu’au jour de la consultation.
Chaque couche a sa raison d’être. L’une d’entre elles peut-être plus difficile à enlever qu’une autre. Il est donc important de respecter son propre rythme et d’accepter que certaines protections mises en place nécessiteront plus d’attention que d’autres. L’essentiel est de continuer à avancer.
La kinésiologie pour se libérer des crises d’angoisse
Les crises d’angoisse
Une décharge d’adrénaline, le coeur qui s’emballe, la respiration qui devient difficile, les mains moites, une peur panique, une perte totale de contrôle…Voici à quoi peut ressembler une crise d’angoisse.
Qu’est-ce que le corps essaie de me dire lorsque je fais une crise d’angoisse?
Quelle tension cherche-t-il à évacuer par ce biais?
Après examen médical, il est souvent possible que « tout aille bien physiquement » et que cela soit « lié au stress ».
Et pourtant, comme un voyant rouge dans une voiture, le corps m’envoie un signal fort. Il m’empresse d’aller voir ce qu’il se passe à l’intérieur de moi, ce que je ressens. Il y a vraisemblablement une dissonance entre mon corps, mes émotions et ma tête.
Si la cause d’une crise d’angoisse peut différer d’une personne à une autre et que son analyse se doit d’être individualisée, je souhaitais partager avec vous quelques pistes de réflexion à ce sujet:
- Est-ce que je viens de vivre une situation qui fait écho à un événement de ma vie que je n’aurais pas digéré, que j’aurais occulté et qui me reviendrait comme un boomerang?
- Le ressenti mis en exergue lors de ces crises d’angoisse me rappelle-t-il une blessure passée?
- Cette impression de mourir, que je peux ressentir, est-elle en lien avec une situation qui se termine? Est-ce que je suis en train de prendre conscience que je dois laisser partir quelque chose ou quelqu’un?
- Suis-je sur mon chemin ou ai-je la sensation au contraire, d’être en décalage avec ce qui me procure de la joie?
La crise d’angoisse peut m’inviter à:
- Reconnaître un ressenti non digéré lié à une blessure passée et à m’en libérer
- Prendre conscience de mon pouvoir personnel, de ma propre vérité
- Me réorienter vers un chemin qui m’apporte davantage de sens et de joie
La kinésiologie, qui est une technique permettant d’harmoniser le corps e l’esprit, peut soulager efficacement ces crises d’angoisse et aider à libérer les blessures passées qui lui sont associées.
Qu’est-ce que la kinésiologie?
Retrouver son chemin
Il peut nous arriver parfois de nous sentir perdu.
Lorsque cela se produit, nous ressentons généralement une impression de décalage: les gens autour de nous ne nous correspondent plus, le métier que l’on fait ne nous satisfait pas, etc.
Comment en sommes-nous arrivés là?
Quand nous observons les décisions qui nous ont menés là où nous en sommes, nous réalisons qu’elles ont souvent été prises en réponse à des injonctions extérieures.
“Tu dois être comme ceci”, “Ce serait bien que tu fasses cela” etc. Autant de phrases auxquelles nous avons choisi de nous conformer, dans le but d’être acceptés et aimés par certaines personnes.
Retrouver son chemin passe par cette étape de bilan. Prenons le temps d’observer ces phases de vie où nous nous sommes aventurés sur les chemins d’autrui.
De quoi nous est-il nécessaire aujourd’hui de nous libérer pour retrouver notre propre chemin?
Le Brain Gym, pour booster nos neurones
Et si certains mouvements permettaient de faciliter nos capacités cérébrales?
C’est le principe du Brain Gym, méthode mise au point par Paul Dennisson: 26 mouvements simples à effectuer pour stimuler la concentration, la mémorisation, l’écoute et plus globalement l’apprentissage.
Ces mouvements sont aussi efficaces pour les enfants que pour les adultes. Ils s’avèrent particulièrement utiles lors d’une préparation à un examen ou lors d’un retard scolaire.
Partant du constat que notre corps intervient dans le travail de la pensée (état de fatigue, tension musculaire, fonctionnent des cinq sens, hydratation, etc.), le Brain Gym propose d’utiliser notre corps pour stimuler nos capacités cérébrales.
Parmi ces 26 mouvements, prenons l’exemple de « boire de l’eau« . Cette action va en effet favoriser une bonne hydratation et aura un impact direct sur les connexions nerveuses et le niveau de vitalité.
De même qu’effectuer des « mouvements croisés » permettra de stimuler les deux hémisphères du cerveau. Cet exercice favorisera les actions de coordination et plus largement, de compréhension, la personne ayant accès à davantage de ressources.
Comme son nom l’indique, le Brain Gym est une gymnastique. C’est grâce à leur répétition que ces mouvements font preuve d’une grande efficacité sur l’apprentissage.
En consultation de kinésiologie, il est tout à fait possible de déterminer les mouvements les plus adaptés pour une personne au regard de sa situation. Ces exercices seront ensuite à effectuer régulièrement chez soi pendant plusieurs jours pour obtenir un résultat concret.
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